Ethical Hacking
How will governments and courts protect civil liberties in this new era of hacktivism? Ethical Hacking discusses the attendant moral and legal issues. The first part of the 21st century will likely go down in history as the era when ethical hackers opened governments and the line of transparency moved by force. One need only read the motto "we open governments" on the Twitter page for Wikileaks to gain a sense of the sea change that has occurred. Ethical hacking is the non-violent use of a technology in pursuit of a cause-political or otherwise-which is often legally and morally ambiguous. Hacktivists believe in two general but spirited principles: respect for human rights and fundamental freedoms, including freedom of expression and personal privacy; and the responsibility of government to be open, transparent and fully accountable to the public. How courts and governments will deal with hacking attempts which operate in a grey zone of the law and where different ethical views collide remains to be seen. What is undisputed is that Ethical Hacking presents a fundamental discussion of key societal questions. A fundamental discussion of key societal questions. This book is published in English. - La premiere moitie du XXIe siecle sera sans doute reconnue comme l'epoque ou le piratage ethique a ouvert de force les gouvernements, deplacant les limites de la transparence. La page twitter de Wikileaks enchasse cet ethos a meme sa devise, " we open governments ", et sa volonte d'etre omnipresent. En parallele, les grandes societes de technologie comme Apple se font competition pour produire des produits de plus en plus securitaires et a proteger les donnees de leurs clients, alors meme que les gouvernements tentent de limiter et de decrypter ces nouvelles technologies d'encryption. Entre-temps, le marche des vulnerabilites en matiere de securite augmente a mesure que les experts en securite informatique vendent des vulnerabilites de logiciels des grandes technologies, dont Apple et Google, contre des sommes allant de 10 000 a 1,5 million de dollars. L'activisme en securite est a la hausse. Le piratage ethique est l'utilisation non-violence d'une technologie quelconque en soutien d'une cause politique ou autre qui est souvent ambigue d'un point de vue juridique et moral. Le hacking ethique peut designer les actes de verification de penetration professionnelle ou d'experts en securite informatique, de meme que d'autres formes d'actions emergentes, comme l'hacktivisme et la desobeissance civile en ligne. L'hacktivisme est une forme de piratage ethique, mais egalement une forme de militantisme des droits civils a l'ere numerique. En principe, les adeptes du hacktivisme croient en deux grands principes : le respect des droits de la personne et les libertes fondamentales, y compris la liberte d'expression et a la vie privee, et la responsabilite des gouvernements d'etre ouverts, transparents et pleinement redevables au public. En pratique, toutefois, les antecedents comme les agendas des hacktivistes sont fort diversifies. Il n'est pas clair de quelle facon les tribunaux et les gouvernements traiteront des tentatives de piratage eu egard aux zones grises juridiques, aux approches ethiques conflictuelles, et compte tenu du fait qu'il n'existe actuellement, dans le monde, presque aucune exception aux provisions, en matiere de cybercrime et de crime informatique, liees a la recherche sur la securite ou l'interet public. Il sera egalement difficile de determiner le lien entre hacktivisme et droits civils. Ce livre est publie en anglais.
Alana Maurushat Maurushat is Professor of Cybersecurity and Behaviour at Western Sydney Univeristy. She is also on the Board of Directors for the cybercrime investigation firm IFW Global.